Frédéric Bobin : Les larmes d’or

Les larmes d’or, 3ème album de Frédéric BOBIN
CD Digipack – 12 titres

15,00

Description

     D’une voix proche et chaleureuse, Frédéric Bobin chante une collection de folksongs dont les ambiances acoustiques ne sont pas sans rappeler les premiers Dylan ou les ballades de Springsteen. Tout au long de cet album profond et mélodieux, la recherche de la note et du mot justes est constante, comme sur la chanson d’ouverture Le soir tombe où le lyrisme du violoncelle se marie à la guitare slide des grands espaces ou encore sur le duo humaniste Tant qu’il y aura des hommes, chanté avec Kent.

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     Après les albums Singapour (2008) et Le Premier Homme (2012) et de nombreux concerts en France et à l’étranger (Suisse, Québec, Sénégal, Lituanie, Pologne…), Frédéric Bobin revient avec 12 nouvelles chansons, toujours co-écrites avec son frère Philippe.

     D’une voix proche et chaleureuse, Bobin chante une collection de folksongs dont les ambiances acoustiques ne sont pas sans rappeler les premiers Leonard Cohen, certains albums de Dylan ou les ballades de Johnny Cash et Springsteen.

     En plus des guitares folk et électriques de Frédéric, on y entend la contrebasse et la batterie de Mikael Cointepas, le violoncelle d’Hélène Piris, l’harmonica de Vincent Dupuis et on y croise Kent qui prête sa voix à un duo humaniste (Tant qu’il y aura des hommes).

     La ballade folk Le soir tombe donne le ton de cet album profond et mélodieux, où le lyrisme du violoncelle se marie à la guitare slide des grands espaces…

     Quelques chansons oniriques (La maison de mon grand-pèreLa fiancée) côtoient des portraits réalistes de losers magnifiques (le diptyque Jimmy / Le dernier voyage de Sindbad) et même un autoportrait teinté d’ironie et de nostalgie (Super 8).

     Quant aux histoires d’amour, chez Bobin, elles sont marginales (la ballade pop sixties Les étreintes intermittentes) ou fantasmées (La vie qu’on aurait pu vivre).

     Tout au long des douze plages de cet album aux arrangements boisés et épurés, la recherche de la note juste, du mot juste, est constante, comme dans le texte d’Une goutte d’eau qui prône un retour à l’essence des choses, sans fard, sans artifices.

     L’album s’achève sur deux chants d’espoir, en hommage aux artistes (Musique blesséeLes larmes d’or).

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