Manu Galure : Le meilleur des 20 ans de Manu Galure
Le meilleur des 20 ans de Manu Galure (1er album solo en public)
CD Digipack – 21 titres
Egalement disponible en « pack » avec le 2ème album
Description
Le bonhomme :
Manu GALURE, sourire ravageur, instrumentiste multicarte déjà rôdé à la scène, est aussi à l’aise en piano solo qu’à la contrebasse avec son groupe Les Ptits T’Hommes, sans être pour autant manchot à la guitare. Par dessus tout il déborde d’idées, et de talents pour les mettre en forme et en scène.
Les racines plongées profondément aux origines de la chanson, il s’en nourrit pour faire éclore les fleurs vénéneuses qu’il nous sert avec désinvolture, bousculant des codes assez maîtrisés pour qu’on sente à la fois chez lui le respect et l’impertinence.
S’il ne s’économise pas, il ne nous ménage pas non plus : de la claque cruelle aux chatouilles pas vraiment innocentes, il se joue de nous… et on en redemande !
Provocateur rigolard ou poète expressionniste inspiré, Manu GALURE enfile les costumes, les styles et les princesses avec une aisance et une jubilation rares, qu’il partage sans compter.
La filiation :
Si le comptoir des histoires des Ptits T’Hommes nous entraîne dans un univers onirique à la Tim Burton, entre contes macabres et folie festive, dont certains accents rappellent la musique déglinguée d’un Tom Waits, le spectacle solo de Manu Galure en piano-voix explore d’autres facettes de sa personnalité scénique :
Côté références, on est plus proche ici de Juliette et Higelin, tant pour la précision des textes que pour la folie de l’exécution, et on ne peut s’empêcher de penser aux débuts d’une Jeanne Cherhal pour le culot de l’arrivée sur scène mêlant fraîcheur et maturité, maîtrise aussi du public et de l’espace à occuper.
Le parcours :
Agé d’à peine vingt ans, Manu Galure a fait de la musique depuis son plus jeune âge et risque bien d’en faire jusqu’à son troisième, au moins. Dix ans de violon, trois ans de trompette, autant de contrebasse, du piano bien sûr, du chant, harmonie, arrangements, composition, un long et fructueux parcours au conservatoire. A quinze ans il écrit ses premières musiques et dirige son premier groupe de ska, et fait ses armes sur scènes dans plusieurs genres, jazz, free jazz, rock festif, salsa…
Viennent les mots. Et les chansons. Il écrit un spectacle, Le comptoir des histoires, et forme le groupe Les Ptits T’hommes, duo qui deviendra quintette. Un univers onirique à la Tim Burton, entre contes macabres et folie festive, dont certains accents rappellent la musique déglinguée d’un Tom Waits. En moins de deux ans, c’est un succès. Premier prix aux JMF Midi-Pyrénées, au Pic d’Or à Tarbes, au Festiv’art à Foix et surtout de très jolies scènes, avec les premières parties de Syrano, Les Ogres de Barback, Jamait, Higelin, Zazie… Et pour couronner le tout, un passage remarqué parmi les découvertes du festival « Alors… Chante ! » à Montauban qui débouchera sur une résidence de travail début 2008 pour le quintette, puis sur une programmation dans l’édition de mai 2008 du festival. L’album Le nouveau comptoir des Histoires produit par Kiui Prod obtient en 2008 un Coup de Cœur de l’Académie Charles Cros.
En parallèle, il écrit de nouvelles chansons, un peu différentes, pour un chanteur seul et pour un piano et part avec succès à la rencontre d’un nouveau public, et de nouvelles salles encore plus rapidement et avec succès. La presse musicale et les diffuseurs dressent l’oreille. En Février 2007, il assure la première partie de Jacques Higelin à la Halle aux Grains de Toulouse, début 2008 celle de Bernard Joyet à l’Européen à Paris. Nicolas Jules, Juliette, suivront. Le public en redemande et les concerts se multiplient. Manu Galure retourne concourir dans les découvertes du festival Alors… Chante ! à Montauban en mai 2008. Il y remporte le 1er prix du public et le 2ème des professionnels. Partenariats et programmations s’ensuivent.
En dehors de la scène, Manu Galure n’arrête pas pour autant ses projets de chansons. L’écriture, bien sûr, pour lui et pour les autres, collaborations diverses, spectacles collectifs…
Et il assure que ça ne fait que commencer !